Le très honorable Stephen Harper, C.P., député
Premier ministre du Canada
Chambre des communes
Ottawa, Ontario
K1A 0A6
Monsieur le Premier ministre,
____________________________________
L’honorable Stéphane Dion, C.P., député
Chef du Parti libéral du Canada
Chambre des communes
Ottawa, Ontario
K1A 0A6
Monsieur,
___________________________________
M. Jack Layton, député
Chef du Nouveau Parti Démocratique
Chambre des communes
Ottawa, Ontario
K1A 0A6
Monsieur,
___________________________, député
Chambre des communes
Ottawa, Ontario
K1A 0A6
Monsieur,
_________________________________
La Loi canadienne sur les droits de la personne a été adoptée in 1977 et elle est entrée en vigueur le 1er mars 1978. Elle contient une « disposition transitoire », connue sous le nom d’article 67, qui stipule ce qui suit :
« La présente loi est sans effet sur la Loi sur les Indiens et sur les dispositions prises en vertu de cette loi ».
La disposition transitoire était conçue à l’origine pour permettre au ministère des Affaires indiennes et du Nord et aux conseils de bande de donner suite aux préoccupations qui pourraient découler de l’application complète de la Loi canadienne sur les droits de la personne. L’inclusion de la disposition transitoire signifie qu’il est actuellement LÉGAL pour le gouvernement du Canada, lorsqu’il administre la Loi sur les Indiens, de le faire sans égard à la discrimination envers les Autochtones sur la base de la race, de l’origine ethnique ou nationale, de la couleur, de la religion, de l’âge, du sexe, de l’orientation sexuelle, de la situation de famille, de handicaps ou d’une condamnation ayant fait l’objet de réhabilitation.
Le 1er mars 2008, il y aura maintenant trente ans que la « disposition transitoire » a été mise en place. Plusieurs tentatives d’abrogation de l’article 67 sont mortes au Feuilleton, incluant le Projet de loi C-44, qui a été rejeté le 14 septembre 2007.
Le Parlement a toléré une discrimination et accepté une discrimination légalisée dans le cadre de la Loi sur les Indiens durant le règne de huit Premiers ministres. Ceci n’est pas un enjeu de nature partisane. Le dossier international du Canada en regard des droits de la personne demeurera terni jusqu’à que le gouvernement prêche par l’exemple en ce qui a trait aux droits de la personne au pays.
Trente ans d’attente, c’est beaucoup trop long. Une justice retardée est une justice niée. Tant que l’article 67 restera en vigueur, le Canada restera identifié à la discrimiNATION.
Patrick Brazeau
Grand Chef Congrès des Peuples Autochtones
Dec 2, 2007
Nov 11, 2007
Les Métis chantés par l'Opéra Français à Paris
Écoutez le tous nouvel hymne Métis, chanté par:
Jean-Marc Philippe Duval de France
Montage par mon frère: Norbert Martin
The new national Métis anthem, sung by the opera singer, Jean-Marc Philippe Duval,
Photo-Montage by my brother: Norbert Martin
Cliquetez 2 fois sur la flèche au centre de l`écran.
Click twice on arrow in the center of the screen.
Jean-Marc Philippe Duval de France
Montage par mon frère: Norbert Martin
The new national Métis anthem, sung by the opera singer, Jean-Marc Philippe Duval,
Photo-Montage by my brother: Norbert Martin
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Nov 9, 2007
Délégation de l'Alliance Autochtone du Québec
Nov 6, 2007
L'Assemblée des Premières Nations accuse Harper de vouloir les assimiler
HALIFAX - L'Assemblée des Premières Nations, le plus grand groupe autochtone du Canada, a critiqué vendredi le premier ministre Stephen Harper pour avoir participé à une rencontre organisée par une organisation rivale, ce à quoi M. Harper a répondu qu'il ne tentait que de trouver un terrain d'entente chez les groupes avec qui il travaille.
Dans un discours devant quelque 200 délégués du Congrès des peuples autochtones, le premier ministre a évoqué des statistiques selon lesquelles une majorité d'autochtones vivent aujourd'hui dans les villes du pays, et a affirmé que son gouvernement conservateur ferait de leurs inquiétudes une priorité.
Le Congrès des peuples autochtones a été le seul organisme autochtone à appuyer les conservateurs lors des dernières élections fédérales.
Le premier ministre n'a cependant pas annoncé de nouvelle initiative pour aider les autochtones qui vivent dans les villes ou hors des réserves.
Malgré tout, la simple présence de M. Harper à une telle rencontre lui a valu de sévères critiques de la part de l'Assemblée des Premières Nations (APN), qui représente 633 réserves à travers le pays.
Cet été, le premier ministre avait décliné une invitation à une rencontre de l'APN à Halifax.
Le chef de la région Atlantique de l'APN, Rick Simon, a estimé que les chefs du Canada se sentaient snobés par le premier ministre et que son groupe était déçu. M. Harper a fait remarquer qu'il a travaillé avec l'Assemblée des Premières Nations pour conclure des règlements sur leurs revendications territoriales et un règlement pour les écoliers autochtones victimes de violences sexuelles et psychologiques dans des pensionnats.
Le Congrès des peuples autochtones représente les Métis, les Autochtones hors réserves et les Inuits.
Dans un discours devant quelque 200 délégués du Congrès des peuples autochtones, le premier ministre a évoqué des statistiques selon lesquelles une majorité d'autochtones vivent aujourd'hui dans les villes du pays, et a affirmé que son gouvernement conservateur ferait de leurs inquiétudes une priorité.
Le Congrès des peuples autochtones a été le seul organisme autochtone à appuyer les conservateurs lors des dernières élections fédérales.
Le premier ministre n'a cependant pas annoncé de nouvelle initiative pour aider les autochtones qui vivent dans les villes ou hors des réserves.
Malgré tout, la simple présence de M. Harper à une telle rencontre lui a valu de sévères critiques de la part de l'Assemblée des Premières Nations (APN), qui représente 633 réserves à travers le pays.
Cet été, le premier ministre avait décliné une invitation à une rencontre de l'APN à Halifax.
Le chef de la région Atlantique de l'APN, Rick Simon, a estimé que les chefs du Canada se sentaient snobés par le premier ministre et que son groupe était déçu. M. Harper a fait remarquer qu'il a travaillé avec l'Assemblée des Premières Nations pour conclure des règlements sur leurs revendications territoriales et un règlement pour les écoliers autochtones victimes de violences sexuelles et psychologiques dans des pensionnats.
Le Congrès des peuples autochtones représente les Métis, les Autochtones hors réserves et les Inuits.
Nov 5, 2007
Harper defends native policy
By Michael Tutton
The Canadian Press
Canada’ s largest aboriginal group criticized Stephen Harper for attending a meeting of a rival organization on Friday, through the prime minister responded he’ s merely seeking “common ground” with groups he can work with.
In a speech to about 200 delegates of the Congress of Aboriginal people, the prime minister cited statistic that the majority of aboriginals now lives in cities, and said his Conservative government will make their concern a priority. Those living off reserves now account for nearly half of the population on the federal Indian Registry”, noted Harper.
“These people cannot be forgotten or ignored any longer”, he told the members of the Congress, which was the only national native group to support the Conservative in the last federal election.However, Harper didn`t announce any fresh initiatives to assist aboriginals living in cities or off-reserves.
Rather, he reminded the audience that his minority government has “refocused” funding into a training and employment program for the aboriginal. Harper also said a joint agreement the federal government has with British Columbia and reserves in that province to provide added funding for education, is a model of the kind of arrangements we`d like to enter into with provinces.
Harper said he wants record of “real results through concrete, tangible actions” with “willing and able partners."
Still Harper`s mere presence at the meeting drew some harsh criticism from the Assembly of First Nation, which represents 633 reserves across the country.
This summer, Harper declined an invitation to attend an Assembly of First Nation meeting in Halifax.
Rick Simon, Atlantic regional chief of the Assembly of First Nation, said, the chiefs of Canada snubbed at that point, and here’ s is a group (the Congress of Aboriginal People)that has no structure and accountabilities and the prime minister finds the time to come in and address.”
He said the assembly is disappointed.
The Congress of Aboriginal people represents Métis, off reserves aboriginal and Inuits people.
The Canadian Press
Canada’ s largest aboriginal group criticized Stephen Harper for attending a meeting of a rival organization on Friday, through the prime minister responded he’ s merely seeking “common ground” with groups he can work with.
In a speech to about 200 delegates of the Congress of Aboriginal people, the prime minister cited statistic that the majority of aboriginals now lives in cities, and said his Conservative government will make their concern a priority. Those living off reserves now account for nearly half of the population on the federal Indian Registry”, noted Harper.
“These people cannot be forgotten or ignored any longer”, he told the members of the Congress, which was the only national native group to support the Conservative in the last federal election.However, Harper didn`t announce any fresh initiatives to assist aboriginals living in cities or off-reserves.
Rather, he reminded the audience that his minority government has “refocused” funding into a training and employment program for the aboriginal. Harper also said a joint agreement the federal government has with British Columbia and reserves in that province to provide added funding for education, is a model of the kind of arrangements we`d like to enter into with provinces.
Harper said he wants record of “real results through concrete, tangible actions” with “willing and able partners."
Still Harper`s mere presence at the meeting drew some harsh criticism from the Assembly of First Nation, which represents 633 reserves across the country.
This summer, Harper declined an invitation to attend an Assembly of First Nation meeting in Halifax.
Rick Simon, Atlantic regional chief of the Assembly of First Nation, said, the chiefs of Canada snubbed at that point, and here’ s is a group (the Congress of Aboriginal People)that has no structure and accountabilities and the prime minister finds the time to come in and address.”
He said the assembly is disappointed.
The Congress of Aboriginal people represents Métis, off reserves aboriginal and Inuits people.
Oct 24, 2007
Racism in Canada
In contrast to the explicitly racist discrimination of South African apartheid, Métis racism in the Eastern Provinces exists within contexts where no public discourse about race or racism is found, where instead there is silence about it. In such contexts, the silence works to allow racial discrimination against Aboriginal people to continue in ways that are as effective as clearly stated policy such as apartheid, or perhaps even more so since it is more difficult to critique and dismantle an institution whose existence is denied.
Racism has been endemic in Canada. It has stretched from early slavery of our people at the nation's dawn through the Fascist phase prior to the Second World War to the Paki-bashing of recent years. It has reached from the Pacific to the Atlantic, taking different forms according to the local ethnic composition, targeting Asians in Vancouver, Métis in the Eastern Provinces in Canada, blacks in Nova Scotia, and Indians everywhere. It has been represented in corporate and government boards and among manual labourers at construction sites. And it has appeared both visibly in the form of violent attacks and covertly in the form of variations in wages and employment opportunities based on racial criteria. Many observers might want to argue that, what racism does exist in Canada has simply been the sad product of deviant individuals, or a temporary problem brought on by unemployment or some other crisis. Yet the degree, scope, and persistence of the phenomenon lead to a single conclusion; racism in Canada has been institutionalized...racism that is intrinsic to the structures of society. It may be overt or covert, expressed formally in the laws of the land, or less visibly in patterns of employment and the content of school textbooks...What is significant about institutional racism, whether open as the reservation system for Native peoples or hidden like the Francophone Métis in the Eastern Provinces, Canadians are more cautious about appearing racists, is not only that differential advantage along racial lines is embedded in society itself, but also that it perpetuates itself over time, for that is the nature of the institutional framework; independent of individual volition, relatively unconscious and unmotivated, it reproduces itself...institutional racism is almost synonymous with:
"the way things are"
Archie Martin
Representative
for the East-West Métis Union
Guéganne Doucet
Métis Ntlogôoagan etlïlogoatem
Artiste - Autochtone - Aboriginal Artist
Ni'n na Métisse aq gi'nujin.
Nesagudum Mi'kmaq, Abenaki aq Wenuj.
Ma Nation d'origine est Métisse
Mes souches sont Mi'kmaq, Abénaquise et Française.
Racism has been endemic in Canada. It has stretched from early slavery of our people at the nation's dawn through the Fascist phase prior to the Second World War to the Paki-bashing of recent years. It has reached from the Pacific to the Atlantic, taking different forms according to the local ethnic composition, targeting Asians in Vancouver, Métis in the Eastern Provinces in Canada, blacks in Nova Scotia, and Indians everywhere. It has been represented in corporate and government boards and among manual labourers at construction sites. And it has appeared both visibly in the form of violent attacks and covertly in the form of variations in wages and employment opportunities based on racial criteria. Many observers might want to argue that, what racism does exist in Canada has simply been the sad product of deviant individuals, or a temporary problem brought on by unemployment or some other crisis. Yet the degree, scope, and persistence of the phenomenon lead to a single conclusion; racism in Canada has been institutionalized...racism that is intrinsic to the structures of society. It may be overt or covert, expressed formally in the laws of the land, or less visibly in patterns of employment and the content of school textbooks...What is significant about institutional racism, whether open as the reservation system for Native peoples or hidden like the Francophone Métis in the Eastern Provinces, Canadians are more cautious about appearing racists, is not only that differential advantage along racial lines is embedded in society itself, but also that it perpetuates itself over time, for that is the nature of the institutional framework; independent of individual volition, relatively unconscious and unmotivated, it reproduces itself...institutional racism is almost synonymous with:
"the way things are"
Archie Martin
Representative
for the East-West Métis Union
Guéganne Doucet
Métis Ntlogôoagan etlïlogoatem
Artiste - Autochtone - Aboriginal Artist
Ni'n na Métisse aq gi'nujin.
Nesagudum Mi'kmaq, Abenaki aq Wenuj.
Ma Nation d'origine est Métisse
Mes souches sont Mi'kmaq, Abénaquise et Française.
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